Vivre, mourir, renaître raconte l’histoire complexe d’Emma, amoureuse de Sammy, qui lui-même aime Cyril. Ce trio amoureux, qui aurait pu ressembler à une comédie romantique classique, bascule dans le drame avec l’arrivée du sida. Loin des simples jeux de l’amour, les personnages sont confrontés à la peur de la maladie, à la menace de la mort, mais aussi à l’espoir de renaître malgré tout.
Le film explore avec sensibilité comment chacun d’eux réagit face à cette situation : l’angoisse, l’injustice, mais aussi la résilience se dévoilent au fil du récit. Alors que l’on s’attend au pire, la destinée des personnages prend des tournants inattendus, leur permettant de se réinventer et de découvrir de nouvelles façons d’aimer.
Porté par une réalisation délicate de Gaël Morel et des acteurs bouleversants, Vivre, mourir, renaître nous offre une fresque émotive où la maladie n’éclipse pas l’essence même de l’humanité : l’amour, l’amitié, et la capacité à se reconstruire après l’épreuve. Un film touchant, qui rappelle que même dans la tragédie, il est possible de vivre et de renaître.